Je juge, tu juges, nous jugeons...

Chaque fois que nous nous trouvons face à une situation qui parait sans issue, c'est le moment de remettre en question le type d'observateur que nous sommes. C'est le moment de nous ouvrir à un apprentissage de second ordre pour revoir nos distinctions, nos supposés, nos jugements, et nos interprétations.
Que pensez-vous des jugements? - c'est bien, c'est mal, c'est difficile de ne pas juger, c'est normal de juger, c'est utile, c'est désagréable...
Quels jugements portez-vous sur vous?
Quels jugements portez-vous sur votre partenaire? Sur vos enfants? sur vos collègues de travail?
Quelles possibilités vous ouvrent ces jugements? quelles limites vous imposent-ils?
Sont-ils fondés? comment fonde-t-on un jugement?
Sont-ils valides? qui décide?

Si ce message a du sens pour vous n'hésitez pas à me contacter pour approfondir la conversation:
florence.coach@gmail.com
A bientôt !

Commentaires

  1. Bonjour,
    En matière de jugement, je viens de lire "Le non-jugement, de la théorie à la pratique" de Yves-Alexandre Thalmann.
    Et pour faire l'inverse de ce que préconise l'auteur, j'ai trouvé ce livre très intéressant !
    Ah ! Paradoxe, quand tu nous tiens ! :)
    Robert Riou

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  2. Merci pour votre commentaire Robert et votre remarque m'a fait penser à une citation d´Unamuno : "Si un homme ne se contredit jamais c'est qu'il ne dit jamais rien".
    Moi je crois que les jugements nous servent à dessiner notre futur et qu'il nous appartient de les fonder pour ne pas construire notre futur sur des jugements infondés.

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